dernière mise à jour le 2 mars 2002 (last updated)

AMIS DU LONG SEJOUR

lettre numéro 33 de mars 2002

Citation :

"Plus le respect est difficile, plus il honore ceux qui en sont capables et ceux qui en bénéficient ! "

Docteur Roger Garin, Président d'Honneur des Amis du Long Séjour.

 ----------------------------Bravo!

Déjà 58 adhérents à notre association le 7 février 2002. Merci d'avoir compris que nous avons besoin les uns des autres : résidents, soignants, familles, bénévoles, pour s'unir dans l'action en faveur de nos personnes âgées. Atteindrons-nous le chiffre symbolique d'un adhérent pour un résident ?

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Annonces :

Départ à la retraite de Madame Jacqueline Caruelle à la fin de 2001.

 

Départ à la retraite de Madame Danielle Belda au début de 2002.

 

Toutes deux étaient infirmières dans  notre service.

 

Comment les remercier à la hauteur de leur mérite ?

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Nomination récente d'un conseil de service des Soins de Longue Durée, organisme consultatif semblable à celui qui est présent dans les autres services hospitaliers.

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Un local est désormais destiné à l'accueil des familles autour du défunt, de manière temporaire, lorsque la chambre, en particulier la chambre à deux lit, ne s'y prête pas.    

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La vingt et troisième réunion des soignants avec les bénévoles du service aura lieu le jeudi 7 mars 2002 de 10h30 à 12h à la bibliothèque médicale du Centre Hospitalier d'Albi.

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Le billet d'humeur du Président :

Pendant l'année 2001, nous avons acheté du matériel de soins indispensable pour nos résidents : il  s'agit de coussins permettant une inclinaison du corps à 30° pour lutter contre le risque d'escarres. Notre association a investi 3106,46 F pour ce faire. Rappelons que ce type d'achat ne peut et ne doit avoir lieu que si l'institution ne le fournit pas. Il en sera de même pour quatre exemplaires de tapis de sol permettant d'amortir la chute des personnes âgées qui tombent de leur lit par mégarde ou par confusion mentale. Cet investissement représenterait environ 600 Euros.

 

Un projet d'une ambition élevée serait celui d'acheter un minibus pour pouvoir assurer une liberté de sortir nos résidents très dépendants. En aurons-nous la volonté ?


 

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