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Le 4 octobre 2025
Mort médicalement administrée : les
pays chrétiens concernés
Bernard Pradines
L’essor rapide et inédit
de lois légalisant l’aide médicale à mourir (AMM) dans les pays occidentaux
d’héritage chrétien est sans précédent. Ces législations, qui incluent le
suicide médicalement assisté (SMA) et l’euthanasie, se développent dans des sociétés
marquées par une médecine performante mais souvent défaillante dans
l’accompagnement de la fin de vie. Le suicide n’est pas un phénomène nouveau,
mais sa légalisation médicale traduit une transformation culturelle inédite.
Plusieurs paradoxes se font jour : religieux (ces pays historiquement chrétiens
choisissent la voie de l’AMM alors que les Églises y sont réticentes ou s’y
opposent), politique (plutôt soutenue par la gauche alors que les plus
défavorisés pourront voir ici une occasion d’échapper à leur condition) et
psychologique (ambivalence des familles, pas seulement des patients). La
tendance mondiale, portée par l’individualisme et la quête de maîtrise du
temps, interroge la capacité des sociétés à maintenir le tabou trimillénaire du
respect de la vie. Saurons-nous développer des soins palliatifs et une
solidarité suffisante pour éviter de faire de la mort programmée une solution
de facilité ?
Texte complet :
Texte complet :
https://www.geriatrie-albi.com/Texte_GL_03-10-25.pdf
Le 23 septembre 2025
Le 22 septembre 2025
Un débat lucide
Bernard Pradines
Résumé :
Le débat sur la fin de vie et l’éventuelle adoption d’une nouvelle loi sur l’aide médicale à mourir (AMM) bat son plein en France. La diversité des situations (âges, pathologies, contextes sociaux) met au défi la possibilité de légiférer de manière universelle.
Peuvent être distinguées des approches morales (éthique, déontologie) et pragmatiques (ressources, formation des soignants, réalité des soins palliatifs). Le vocabulaire euphémisant (AMM vs suicide assisté ou euthanasie) pose question. Les motivations relevées en Oregon (autonomie, dignité, crainte de la dépendance ou de la douleur, coût financier) contrastent avec la peur de la souffrance et de l’acharnement thérapeutique en France.
Comment ne pas considérer les insuffisances des soins palliatifs, la solitude des personnes âgées, la crainte d’être un fardeau pour ses proches et le risque que la société pousse implicitement les plus vulnérables vers le suicide assisté. Les interdits médicaux et culturels sont anciens, mais les pressions économiques et sociales liées au vieillissement sont récentes.
En conclusion, aucune loi ne pourra couvrir toute la complexité des fins de vie, toute amélioration nécessitant un débat lucide, centré sur le questionnement autour de l’évolution occidentale des pensées dans ce domaine.
De quoi parle-t-on au juste ? De la fin de vie ou bien des fins des vies tant les situations sont hétérogènes : mourir à 3 ans ou à 95 ans ? Les âges ne sont qu’un aspect de cette diversité : les pathologies sont variées et le recours aux soins palliatifs concerne la moitié de celles et ceux qui les nécessiteraient en France. Quoi de commun entre un décès en réanimation avec arrêt des traitements actifs et celui qui survient sur la voie publique par accident ou par mort subite ? Ou encore en Soins de Longue Durée au décours d’une longue pathologie neuroévolutive ? Peut-on comparer la condition d’un patient en unité de soins palliatifs avec celui qui est isolé en milieu rural ? Idem pour les possibilités des professionnels avec ou non une formation adaptée dans une structure dédiée ou bien en situation d’isolement.
Ainsi, faut-il aborder ces questions sous un angle moral ou pragmatique ? Moral avec la déontologie et l’éthique ou bien pragmatique avec l’état des ressources concrètes dans ce domaine à un temps t, dans une situation précise, devant une personne qui est toujours unique ? Faut-il voir, dans l’évolution de nombreuses législations occidentales, l’échec à soulager les patients en fin de vie alors que les progrès de la médecine curative sont souvent appréciés de manière très positive ? Une médecine orientée vers la guérison, c’est-à-dire aussi vers le retour de la personne soignée vers la production et la consommation ; ou bien une défiance plus générale sanctionnée par l’explosion des médecines alternatives ? Les formations des soignants dans ce domaine sont-elles suffisantes ? Faut-il ou non légiférer, c’est-à-dire contractualiser la relation médecin-malade ou bien rester dans le domaine historiquement récent des recommandations, telles celles de la HAS[1] ?
Pourquoi le vocabulaire employé affirme-t-il une aide médicale à mourir (AMM) ou la « medical aid » ou « assistance in dying (MAiD) » au lieu de parler franchement de suicide médicalement assisté (SMA) et d’euthanasie ? Pourquoi tant de pudeur ? « Ah, qu’en termes galants ces choses-là sont mises ! » (Molière, le misanthrope).
Pourquoi cette modalité précise de suicide et pas une autre ? Le suicide plus ou moins volontaire a pourtant de beaux jours derrière lui. La sédation préalable et l’intégrité corporelle apparente qui sont communes au SMA, à l’euthanasie et à la peine de mort par injection sont-elles fortuites ?
Est présente dans le débat la volonté de librement disposer de son corps du début à la fin de la vie. Gériatre pendant 18 ans et demi, je me suis interrogé, comme mes semblables, sur le sens d’une vie avec pathologies et dépendance pour les actes de la vie quotidienne. Absurde ou non ? Seules les personnes âgées malades et dépendantes m’ont fourni les réponses car il s’agissait d’elles-mêmes !
Les fins de la vie ont fait l’objet, en 28 ans, dans le monde, d’une législation par an et par pays relative au SMA et/ou à l’euthanasie si l’on envisage séparément les États concernés des USA et d’Australie. Cette lame de fond est portée par des arguments souvent similaires dans ces pays occidentaux se réclamant de la démocratie parlementaire, des Droits de l’Homme et de l’économie de marché. Une économie qui élimine logiquement les loosers. Ces contrées sont toutes sous l’influence historique initiale des religions chrétiennes. Hasard ? Non. Quels sont les facteurs causaux ou confondants ?
Quelles sont les raisons invoquées par celles et ceux qui sont passés à l’acte du SMA en Oregon en 2024 ? [2] Si l’on se penche sur les motivations des personnes qui ont absorbé le cocktail mortel dans cet État qui fut le plus ancien à légiférer dès 1997 hormis la législation helvète, les résultats sont surprenants au regard du contenu du débat français. Il y est essentiellement question d’autonomie. Comme arguments majoritaires par ordre décroissant, des soucis d’autonomie fonctionnelle, d’activités agréables, de dignité. Comme invocations de peu minoritaires, la perte de contrôle des fonctions corporelles, le fardeau pour les proches. Vient ensuite le contrôle inadéquat de la douleur ou des craintes à ce propos (sic), enfin de plus en plus souvent au cours des dernières années, les implications financières du traitement. On constate aussi le décès à domicile bien plus fréquent quand il s’agit d’une mort programmée.
Dans le débat français, on retrouve aussi une conception de la dignité sous l’angle de l’auto-maitrise individuelle, la notion d’un progrès de société, le rejet de la sacralisation de la vie, la dénonciation des voyages obligés à l’étranger pour celles et ceux qui attendent la mort hâtée [3]. A l’appui des attentes, on constate souvent l’expérience individuelle de l’accompagnement d’un proche marquée par la souffrance physique et/ou psychique jugée insupportable ainsi que la crainte de subir le même sort. Une frayeur exprimée jusqu’à l’Assemblée nationale par des élus ou des ministres évoquant leur vie personnelle, chose rare en politique législative, l’affectif venant chevaucher, voire écraser le cognitif.
Souvent évoquée, la peur de l’acharnement thérapeutique a déjà trouvé une réponse dans la loi dès 2005 par le refus de l’obstination déraisonnable. Une réactivation du débat hostile aux positions des religions est palpable sur les réseaux sociaux. Elles y sont souvent jugées conservatrices voire réactionnaires.
Ainsi, j’ai pesé le pour et le contre en étant sensible aux risques inhérents à une nouvelle offre sociétale relevant de causes multiples : détresse des vies et des fins de la vie mal accompagnées, jamais visitées[4], précaires, mal soulagées, pas seulement mais surtout par défaut de soins palliatifs. Insuffisances d’accès aux soins, perspectives d’une hospitalisation inadéquate, voire de mourir sur un brancard aux Urgences. Une solitude massive des personnes âgées -les plus candidates à mourir- avec sentiment d’inutilité, d’être un fardeau pour sa famille et pour la société, d’être rejetées comme d’autres personnes vulnérables : en situation de handicap et/ou souffrant de problèmes psychiques. Michel Billé, sociologue, nous suggère ce résumé : « mourir quand je veux à défaut d’oser dire mourir si je veux…» [5] Un autre de mes contemporains nous a prévenus sur le risque d’intériorisation des attentes sociétales : « La société n'a pas voulu de nous ? Qu'elle se rassure ! On n'veut pas d'elle ! » (Michel Colucci).
Pour les médecins, comment biffer un serment vieux de 2400 ans et un interdit trimillénaire qui concerne toute l’humanité bien au-delà des religions ? Pourquoi le débat persiste-t-il dans les pays qui ont adapté les fins de la vie à leurs impératifs ?
Le spectre se précise d’une incapacité à affronter les coûts inhérents au vieillissement de la population et à la dernière année de vie, aux défis colossaux qui nous attendent : dérégulation climatique, pollutions, injustices sociales, baisse de la natalité, dettes, réarmement dans un monde incertain….
Pourtant, comme le déclare une sénatrice, Claudine Esper, « Aucune loi ne pourra jamais répondre à la multiplicité des situations de fin de vie, de leur complexité, du vécu, et des attentes spécifiques du sujet ».
[1] HAS : Haute Autorité en Santé. Agence française.
[2]Oregon's Death with Dignity Act. https://www.oregon.gov/oha/PH/PROVIDERPARTNERRESOURCES/EVALUATIONRESEARCH/DEATHWITHDIGNITYACT/Pages/index.aspx
[3] Traduction de « hastened death ». L’expression courante est : « hasten death ». Exemple : Rodríguez-Prat A, Pergolizzi D, Crespo I, Julià-Torras J, Balaguer A, Kremeike K, Voltz R, Monforte-Royo C. The Wish to Hasten Death in Patients With Life-Limiting Conditions. A Systematic Overview. J Pain Symptom Manage. 2024 Aug;68(2):e91-e115. doi: 10.1016/j.jpainsymman.2024.04.023.
[4] exemple : l’absence de visite annuelle pour environ 1/3 des résidents d’un EHPAD (citation d’un député lors du débat à l’Assemblée nationale française.)
[5] Michel Billé. Discours au congrès 2024 de la SFAP.
Le 20 septembre 2025
Propositions de recommandations sur les directives anticipées et la personne de confiance
D’après l’avis de la Conférence Régionale de la Santé et de l’Autonomie (CRSA) Occitanie, texte voté le 4 juin 2025 d’après la proposition du groupe de travail que j’ai coordonné :
https://www.geriatrie-albi.com/Texte_vote_GT_DA_CSDU_04-06-2025.pdf
Le 17 juillet 2025
La prochaine visioconférence de l'Association Tarnaise de
Gérontologie (ATG) avec Clémence Guillermain, philosophe, aura
lieu le mardi 7 octobre 2025 de 18 heures à 20 heures (heures
de métropole française).
Le thème en
est le titre de son ouvrage de 2025 :
Inscription
et questionnaire préalable dont les résultats seront rendus anonymement :
https://forms.gle/SBUKRWuC4SW3P5SX7
Le 13 juillet 2025
Le 9 juillet 2025
Un outil simple pour dépister la dénutrition : PARAD
https://geriatrie-albi.com/1752049117706.jpeg
https://geriatrie-albi.com/1752049118371.jpeg
Le 7 juillet 2025
Dernier discours de Claire Fourcade en 2025 comme présidente de la SFAP
Le 4 juillet 2025
Philippe Thomas, Joël Belmin, Marie-Andrée Bruneau, Olivier
Drunat, Laurent Farag, Michèle Grosclaude, Cyril Hazif-Thomas, Lisette
Volpe-Gillot, Bernard Pradines
Hommage à Christophe Trivalle, NPG Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie, 2025,
ISSN 1627-4830,
https://doi.org/10.1016/j.npg.2025.05.001.
(https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1627483025000583)
Le 21 juin 2025
Le 6 juin 2025
L’EHPAD de
demain selon Gérard Brami
Le replay de la
visioconférence du 3 juin 2025 :
L'ouvrage de
Gérard Brami sur le thème est paru le 20 novembre 2024, « L'EHPAD de demain »
:
Les résultats
au questionnaire anonyme et préalable en ligne :
https://www.geriatrie-albi.com/Resultats_def_Q_G_Brami_03-06-25.pdf
Le 26 mai 2025
Pourquoi adhérer à l'Association Roger Garin ?
https://association-roger-garin.assoconnect.com/collect/description/570977-t-adhesions-annuelles
Le 24 mai 2025
C'était le 19 mai 2025 à Albi :
Le 15 mai 2025
Le 2 mai 2025
Le 24 avril 2024
Connaitre le décret du 28 mai 2021 du code de la Santé Publique relatif aux droits en fin de vie.
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000043588182
Le 24 avril 2025
Demande par les proches d’une sédation profonde
Bernard Pradines
Intéressant avis du comité d’éthique de France Alzheimer en date du 22 mars 2025. Des proches ont-ils le droit de demander pour leur parent souffrant de la maladie d’Alzheimer une « sédation profonde et continue provoquant une altération de la conscience maintenue jusqu’au décès, associée à une analgésie et à l’arrêt de l’ensemble des traitements de maintien en vie » ?
Une occasion d’approcher une situation fréquente et le sentiment de « long mourir » chez les proches des malades.
Le 9 avril 2025
Le 8 avril 2025
Le 29 mars 2025
https://free-geriatrics.overblog.com/2025/03/a-propos-de-la-personne-qualifiee.html
Le 24 mars 2025
ATG - L'EHPAD de demain
Vous êtes cordialement
invité·e à la visioconférence de
l'Association Tarnaise de Gérontologie (ATG) avec Gérard Brami (ancien
directeur d'hôpitaux et d'EHPAD) le mardi 3 juin 2025 de 18 heures
à 20
heures (heures de métropole française) sur le thème de "l'EHPAD de
demain". Vous pouvez vous inscrire et/ou répondre à quelques questions
grâce au questionnaire suivant :
https://forms.gle/MGE7UKgcGfV2JXKB7
L'ouvrage de Gérard Brami
sur le thème est paru le 20
novembre 2024 : « L'EHPAD de demain » :
Vous recevrez le lien Zoom
48 heures avant la
visioconférence. Les réponses anonymisées au questionnaire vous
parviendront
avec le replay après la visioconférence.
Le 23 mars 2025 :
L'échelle
EPADE pour évaluer les symptômes psycho-comportementaux
Le mardi
11 mars 2025, visioconférence-débat
avec Florence Fortin-Braud, aide-soignante, sur le thème : "Vieillir,
une
affaire de femmes ?" Réponses au questionnaire en ligne : https://www.geriatrie-albi.com/FFB_rep-08-03-25.pdf
Replay: https://www.youtube.com/watch?v=M8Te40iSw5A
Le
27 janvier 2025
Une
adresse mail pour l'Association Tarnaise
de Gérontologie (ATG) : assotarngeronto@gmail.com
Le
24 janvier 2025
La
fiche Urgence Pallia
:
https://sante.gouv.fr/IMG/pdf/fiche_urgence_pallia_sfap_seule.pdf
Le
17 janvier 2025
ATG
- Vieillir, une affaire de femmes ?
L'Association
Tarnaise de Gérontologie vous souhaite le meilleur en 2025.
Notre
activité se poursuit avec, d’abord, une nouvelle
visioconférence-débat avec avec Florence Fortin-Braud, aide-soignante,
le mardi
11 mars 2025 de 18 heures à 20 heures (heures de métropole française) à
propos
de son ouvrage paru en octobre 2024.
En
effet, Florence est l’autrice d’un ouvrage paru en octobre 2024
intitulé « Vieillir, une affaire de femmes ? » avec
le
sous-titre : « Aidantes, résidentes et soignantes ».
Vous
avez la possibilité de vous inscrire et de répondre à un questionnaire
anonyme en vue de la visioconférence-débat en suivant le
lien :
https://forms.gle/QitC8Ds4yGVb4tKFA
Vous
recevrez alors le lien Zoom 48 heures avant la
visioconférence. Les réponses attendues au questions fermées vous
parviendront
avec le replay.
Le
16 janvier 2025
Critères
de dénutrition après 70 ans
D’après
les
recommandations de la Haute Autorité en Santé (France) en 2021.
Démarche
résumée :
https://www.geriatrie-albi.com/reco368_fiche_outil_denutrition_pa_cd_20211110_v1.pdf
Recommandations :
Dépistage
de
la sarcopénie :
https://maeker.fr/egs/nutrition/sarc-f
Le
14 janvier 2025
Vous
pensez que
l'euthanasie n'est pas un progrès social
Vous
souhaitez être
informé·e des activités du collectif "jusqu'au bout solidaires"
(JABS).
Vous
pouvez
renseigner le court formulaire en lien à l’adresse ci-dessous :
Le
11 janvier 2025
Comprendre
le débat
sur la fin de vie. L'exemple de la réanimation :
Le
9 janvier 2025
Formulaire
de
directives anticipées adaptées à la Réanimation : https://www.srlf.org/wp-content/uploads/2018/01/2018-SRLF_formulaire-directives_anticipees.pdf
A
défaut, aller à : https://geriatrie-albi.com/2018-SRLF_formulaire-directives_anticipees.pdf
Grille
d'évaluation
de l'état de la bouche en soins palliatifs (OAG) : https://www.omedit-centre.fr/broyage/res/Grille_OAG.pdf
A
défaut, aller à : https://www.geriatrie-albi.com/Grille_OAG.pdf
Manuel
canadien de
l'utilisation de l'OAG : https://reseaux-sante-ca.org/IMG/pdf/sans_titre-3.pdf
A
défaut aller à :
https://geriatrie-albi.com/OAG_Ca.pdf
Le
30 décembre 2024
ATG :
visioconférence
avec Florence Fortin-Braud, aide-soignante.
Dans le cadre de l'Association Tarnaise de Gérontologie, voici
ci-dessous
le questionnaire anonyme en vue de la visioconférence-débat
avec
Florence Fortin-Braud, aide-soignante, le mardi 11 mars 2025 de 18
heures à 20
heures (heures de métropole française) à propos de son ouvrage paru en
octobre
2024.
Objectifs : vous inscrire, connaître vos attentes, apprécier votre
niveau
de connaissances sur le thème.
https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSchcyEA-LoAJeXlqBVa8D5ewPQykbTXlCefXUEfUAYNEaBQxA/viewform
Le
21 décembre 2024
Le
Docteur Christophe
Trivalle, gériatre renommé à l'hôpital Paul Brousse à Villejuif,
rédacteur en
chef de la revue Neurologie Psychiatrie Gériatrie (NPG), n’est plus.
Il
était un collègue
d’une immense valeur, investi dans la défense de l’hôpital public et
pour
l’accès aux soins.
Dès
la loi HPST en
2009 et la découpe des missions du service public, il avait contribué à
faire
connaître l’évolution délétère des politiques de santé et à la
combattre au
quotidien dans son site, comme à la commission médicale d’établissement
(CME)
de l’Assistance publique – hôpitaux de Paris (APHP).
Il
était de toutes
les manifestations, de tous les happenings, toujours clair et percutant
dans
les médias.
Il
dénonçait les fake
news sur les réseaux sociaux.
Il
était venu avec
moi au ministère du Travail en 2008 pour plaider en faveur des soins de
longue
durée qui ont subi une coupe sans précédent en une décade : de 84
000 à 30
000 places. Sur mon invitation, il m’avait aussi rejoint à Toulouse le
26 mars
2015 pour traiter des politiques et filières gérontologiques. En 2016,
il
coordonna un ouvrage
sur la prévention en gérontologie.
J’étais
en relation
constante avec lui lors de mes publications passées et futures dans sa
revue.
Vous
l’aurez compris.
Nous perdons à la fois un grand médecin et un citoyen engagé en faveur
de la
condition des personnes âgées et de toutes celles et de tous ceux,
professionnels ou non, qui se dévouent auprès d’elles.
Le
20 décembre 2024
Le replay
de la visioconférence-débat du 10
décembre 2024 relatif au thème suivant :
« Représentation
de la déchéance : personnes
âgées et culture du déchet »
https://youtu.be/1WY5eeddg8Q
Sans publicité : https://hidrive.ionos.com/lnk/Z9dlbLYDZ#file
Vous
trouverez ci-dessous les résultats et les
réponses attendues au questionnaire anonyme préalable en ligne :
https://www.geriatrie-albi.com/Rep24def.pdf
Le
2 décembre 2024
Vieillir,
une affaire
de femmes ?
Il
s’agit d’un ouvrage paru en octobre 2024 avec le sous-titre :
Aidantes,
résidentes et soignantes.
L'autrice
brosse un portrait des EHPAD en nous montrant que la condition des
personnes
qui y vivent et y travaillent est très intimement liée à leur genre,
puisqu'il
s'agit en grande majorité de femmes. L’autrice s'intéresse ici aux
rapports
sociaux, familiaux et économiques qui régissent le vieillissement de la
femme,
à travers des thèmes essentiels : les métiers du soin, la communication
entre
soignantes et résidentes, la place des aidants, etc.
https://www.fnac.com/a20378970/Florence-Fortin-Braud-Vieillir-une-affaire-de-femmes
Le
28 novembre 2024
Le
27 novembre 2024 à
Albi (Tarn-France)
Diapositives
projetées concernant l'état actuel schématique de la recherche en
matière de
maladie d’Alzheimer :
https://geriatrie-albi.com/FA_dias_27-11-24.pdf
Réponses
et réponses
attendues au questionnaire en ligne préalable :
https://www.geriatrie-albi.com/Rep_attendues-quest-Alzheimer_pour_27-11-24def.pdf
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